Le nom de Serre est bien connu à Bias. Les anciens de la commune se souviennent avec émotion de feu Thomas, un homme intelligent et dévoué à la cause des autres qui, dans les années 1980 et 1990, a conjugué son activité professionnelle au camp des Harkis et sa passion pour la pétanque pour en faire bénéficier. dix ans dans sa présidence de la Boule biassaise. C’est sous l’égide de ce dernier qu’il crée et préside la foire de Pâques aux puces.
Aujourd’hui son fils Nicolas, 40 ans, a emménagé dans une ancienne maison bourgeoise du village de Biassais qu’il a rénovée de ses propres mains. Sur le plan sportif, cela ne dénigre pas le petit ballon, loin de là, mais le football joue toujours en leur faveur. Son parcours scolaire est passé par les établissements sport études de Miramont-de-Guyenne, puis de Mont-de-Marsan, avant d’intégrer pendant dix saisons l’équipe première du FC Villeneuve où il s’entraîne encore aujourd’hui avec ses camarades militaires.
Dans la vie active, il travaille à partir de 2000 chez Véolia Eau, « puis chez Agur Eau pendant trois ans ». Mais une autre idée nageait dans ma tête depuis longtemps, raconte Nicolas. L’immobilier me tendait la main. J’ai acheté plusieurs maisons, les ai réparées et les ai vendues. Jusqu’à ce jour où un ami d’enfance qui travaillait pour l’enseigne Open Immobilier m’a proposé de rejoindre l’équipe Villeneuvoise de cette enseigne située dans le quartier des Eysses. Thomas Audy, Damien Couzy et Julien Valas sont mes collègues. »
Au sortir de la crise sanitaire, les transactions immobilières et la gestion locative se portent bien. De nombreux acquéreurs potentiels sont originaires du sud-est de la France.