La météo, les semences, les récoltes, les livraisons, l’alimentation animale… Désormais, rien n’échappe aux algorithmes et aux ordinateurs qui veulent tout savoir et tout enregistrer sur le travail des agriculteurs. Les données agricoles sont-elles aussi importantes, voire plus importantes, que les matières premières ? Henri Bies-Péré, deuxième vice-président de la Fédération nationale des syndicats d’agriculteurs (FNSEA), apporte des réponses.