La finalisation des procédures d’achat du Château de La Chaussade, la construction d’une nouvelle maison de retraite et la taxe communale pour 2023 ont été les principaux sujets abordés lors du conseil municipal.
« 2022 sera une année difficile, très intéressante, mais nous y avons fait beaucoup de progrès. Ce communiqué, signé par le maire Jean-Pierre Château, a conclu mercredi soir la séance du conseil municipal pour l’année. Entre le stress (dans l’avis, entre autres, d’une forte augmentation du prix de l’énergie) et la satisfaction du travail bien fait, surtout dans deux cas majeurs.
Première à voir le bout du chemin du Château de La Chaussade, la Ville se retrouve, aujourd’hui, propriétaire d’une grande partie de l’ensemble, lui aussi sans division. Seuls trois bâtiments sont aujourd’hui propriété privée : deux à l’entrée de la cour verte (déjà occupée) et un sur la place principale. La quatrième, l’ancienne maison du sous-directeur des Forges, devrait être vendue immédiatement à un investisseur, Arnaud Le Claire (propriétaire de Grand Bois à Gimouille et de Contres à Urzy), avec le projet de créer des maisons (An accept it) . durée des travaux : deux ans). Le prix fixé par la mairie est de 10 000 €, avec un terrain de 400 m² à l’arrière.
Deuxième dossier important, la construction d’une nouvelle maison de retraite : la vente du terrain a eu lieu début décembre, officialisant et maintenant ainsi ce processus sur le domaine communal, tout en rapportant 560.000 € dans les caisses de la Ville, propriétaire. de complot. Le montant qui évite le recours aux emprunts jusqu’au moment nécessaire pour équilibrer la partie investissement du budget initial de 2022.
Des champs. Afin de créer une réserve foncière pour de futurs bâtiments, la commune a décidé d’acheter un terrain rue du Général-Cheutin et allée Marie-Curie, pour une surface totale de 1 416 m², créant ainsi un écrin que l’accès prendra. Rue Jules-Renard.
Budget. Si les élus choisissent de ne pas augmenter le coût des repas scolaires, il n’en sera pas de même pour l’eau et l’assainissement (voir ci-dessus). En effet, l’augmentation du coût de l’électricité (nécessaire au fonctionnement des stations) a entraîné une augmentation de 25% des coûts d’exploitation, dont la part supplémentaire sera supportée par la collectivité.
ambitions des collectivités territoriales. Le festival n’aura pas lieu en janvier, pour des raisons économiques.