Les mauvaises herbes envahissent votre jardin et vous souhaitez vous en débarrasser ? Arrêtez tout ! Vous pouvez le vendre et gagner de l’argent! On vous dit tout.
L’herbe n’a pas bonne réputation, mais saviez-vous qu’elle peut vous rapporter de l’argent ? En effet, une start-up française a une idée géniale pour permettre aux gens de vendre des herbes qu’ils ne veulent pas garder dans leurs jardins. On vous explique comment gagner de l’argent avec des plantes indésirables !
Mauvaise herbe : ne vous en débarrassez pas et vendez-la !
Vendre de l’herbe ? C’est une idée de génie pour démarrer une recette Le jardin e(s)t la. Il s’agit d’acheter des orties et autres variétés qui poussent dans notre jardin. Cette plante sauvage est la matière première de sa boutique qui propose bouillons, mélanges aromatiques et pesto. Vous êtes payé pour vous débarrasser des mauvaises herbes et en même temps la startup peut vendre ses produits : tout le monde y gagne ! La marque a indiqué dans le communiqué de la marque que « certains jardiniers adhérents sont payés jusqu’à 2000 euros pour leur récolte ». Oui, vous avez bien lu, c’est plus que le salaire médian français (1 789 € par mois). De plus, cette vente n’est pas imposée sur le revenu.
Mauvaise herbe : comment la vendre ?
Vous voulez passer à côté de cette offre alléchante ? Voici ce que vous devez faire pour vendre vos herbes sauvages. Tout d’abord, vous devez être « membre jardinier ». Pour cela, remplissez le formulaire d’inscription. Notez que vous vous engagez alors à respecter le cahier des charges de la start-up. Ensuite, Jardins est(s)t recette validera votre dossier. Il convient de noter qu’il y a deux conditions à respecter : vous ne devez pas utiliser de produits chimiques sur vos plantes et vous devez tout de même cultiver de manière respectueuse de l’environnement. Vous devriez avoir une utilisation judicieuse de l’eau et de l’électricité. Bon à savoir : vous n’êtes pas engagé dans la start-up et pouvez arrêter cette activité à tout moment.
Mauvaise herbe : les vertus de certaines variétés
Kebon e(s)t qui aime ça, vise à remettre l’alphabet national sur le gazon. Souvent méconnus, ils ont pourtant de nombreux bienfaits pour la santé comme on le sait pour l’ortie et le pissenlit par exemple. Les plantes sauvages sont résilientes et pleinement bénéfiques pour notre bien-être. C’est pourquoi les entreprises revendent vos plantes du jardin comme produits alimentaires. L’entreprise achète beaucoup de plantes comme le houblon, la camomille, les bourgeons de pin, etc.